Mercredi 15 juillet
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Avant les photos pornos d'aujourd'hui, en couleur et en haute définition, il existait des
photos que l'on se passait sous le manteau, et qu'il était difficile de se procurer. Ces photos vintage, dont certaines datent des années 1920, ont un certain charme, et même si les canons de
beauté ont évolué, certaines images gardent encore un puissant pouvoir évocateur ou excitant.
Outre les 2 présentées dans cette introduction, Sexyreport en a rassemblé quelques dizaines dans un album, en espérant qu'aucun d'entre vous ne découvre sa grand-mère ou son arrière grand-mère...! Vous pouvez découvrir l'album en cliquant où vous voulez sur Marilyn :
Outre les 2 présentées dans cette introduction, Sexyreport en a rassemblé quelques dizaines dans un album, en espérant qu'aucun d'entre vous ne découvre sa grand-mère ou son arrière grand-mère...! Vous pouvez découvrir l'album en cliquant où vous voulez sur Marilyn :
Arrivèrent bien plus tard, dans les années 1950 le profil de "pin-up" de l'emblematique Jayne Mansfield, avec des obus coniques et plantureux qui modelèrent les femmes dans une générosité que les années 1970 firent disparaître au profit d'un triangle minimum et d'une certaine platitude...Bref! C'est le soutien-gorge qui dessine de plus en plus la silhouette des femmes.
D'après Chantal Thomas, "la lingerie est devenue un accessoire de mode"; elle rajoute "on n'achète plus un soutien-gorge par besoin, mais parce qu'on en a envie pour obtenir la poitrine que l'on veut. Aujourd'hui, la mode est aux petits seins ronds, naturels et haut perchés. Mais comme pour les vêtements, on n'est pas obligée de suivre la tendance".
Il faut savoir que les soutiens-gorges sont aujourd'hui développés et mis au point par de véritables bureaux d'études, avec de vrais ingénieurs; ceux-ci développent notamment les matières synthétiques comme le Lycra l'a été dès 1958, afin de pouvoir modeler quasiment à volonté vos poitrines, Mesdames, avec des tissus de plus en plus souples et confortables, intégrant par exemple le stretch pour un effet structurant (Playtex et son dernier Coeur Croisé) ou la mousseline de soie (Chantal Thomas) pour un galbe parfait.
NICOLAS
Certains sont réalisés dans des buts thérapeutiques, magiques ou médicaux, d'autres comme objets de plaisirs. On peut le voir sur de nombreuses fresques (entre autre, et c'est désormais très largement connu, à Pompeï), ainsi qu'au sein des collections antiques du monde entier.
Longtemps cachée et tabou, l'utilisation de ces objets destinés à se faire du bien connaît une curieuse renaissance dans les années 60, particulièrement sur les campus américains où les boules de geishas vont même jusqu'à décorer de manière provocatrice le cou de certaines jeunes femmes (et jeunes hommes) en mal d'émancipation. Mais cela reste encore discret, au point que de nombreux observateurs y verront des colliers orientaux (dont la mode sera d'ailleurs ironiquement lancée...). Pendant ce temps, l'industrie du X se diversifie et réalise un fantasme vieux comme L'Eve Futur de Villier de L'Isle Adam : la copulation mécanique. C'est l'arrivé du vibromasseur.
Au milieu des permissives - mais toujours hypocrites - années 80, le catalogue des 3 Suisses entame une petite révolution en proposant un coffret de vibromasseurs, supposément destinés à raffermir la peau du visage sous couvert de "massage faciaux". On en rit encore. 
